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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 12:28

Des JUIN 2013 le chômage montera à 12% puis atteindra très vite 15% vous le savez pertinemment mais vous ne pouvez le dire ce qui aggraverait encore la situation !!!!!

 

En 2013 la croissance sera négative, comme dans la plupart des pays de l’Euroland vous vous en doutez, mais là aussi impossible de le dire cela affolerait les marchés, notre taux d’emprunt auprès monterait pénalisant encore notre dette. En 2103 la situation en EUROPE sera tellement catastrophique que 4% de déficit paraitra un exploit, d’ici là l’Espagne et l’Italie auront déjà annoncé la couleur, plus aisé de leur emboiter le pas.

 

La taxation à 75 % un non sens économique peut être mais une mesure psychologique qui permettra peut être de faire passer les augmentations d’impôts pour les classes moyennes et surtout les futures augmentations de la CSG et de la TVA, psychologique Mister Président.

 

Monsieur le Président vous êtes remarquable et j’apprécie votre manière  votre diplomatie votre simplicité et votre intelligence votre humilité et votre capacité d’adaptation et toutes ces qualités indispensables à naviguer sans rames dans une embarcation qui prend l’eau, c’est bluffant !!!

 

Voilà pourquoi j’ai décidé de me mettre à votre service ce que je n’ai jamais fait depuis 40 ans n’ayant aucune confiance à tous les hommes politiques qui vous ont précédé.

 

La situation économique est si difficile, la confiance des Français est si fragile, la conjoncture à venir est si sombre que survivre deviendra déjà un exploit.

 

Cependant si l’on décide de prendre certaines mesures spécifiques à très court terme on peut atténuer ce choc, cela n’empêchera nullement en parallèle d’élaborer une  stratégie à moyen et long terme qui permettront de poursuivre le chemin dessiné par les premières mesures.

 

Depuis trente ans tous les gouvernements de droite comme de gauche n’ont pas su empêcher la dérive des déficits tous azimuts, la détérioration du commerce extérieur et l’effondrement de l’industrie et ce malgré une hausse constante des prélèvements sociaux/impôt/taxes il est donc naturel de conclure que tous ces hommes politiques étaient incompétents ou peu courageux !!!!!!!

 

POURQUOI ?

 

Tout simplement parce que la qualité majeure de l’homo politicus reste de convaincre, séduire pour être élu il est devenu un redoutable tribun orateur il s’exprime merveilleusement sans pour cela démontrer la moindre efficacité et résultats. Rares sont les hommes politiques qui ont assumé des responsabilités dans le privé ou leur patrimoine et leur carrière étaient en jeu et pouvaient entrainer une faillite ou perte d’emploi : gagner les élections ne sera jamais  un gage de compétence ni de valeur intrinsèque.

         

Beaucoup de députés et conseillers ministériels sont issus du secteur public : ils méconnaissent la complexité du monde de l’entreprise et surtout de la petite entreprise, ils connaissent davantage les ténors du CAC 40 les medias ne parlent que de ces multinationales  alors que 97% des PME/PMI ont moins de 20 employés.

 

Pour faire simple cette absence de mixité culturelle dans le cercle du pouvoir est catastrophique, cette absence de vision globale économique nuit à la qualité des décisions. Il suffît d’observer la réalité depuis vingt ans, la dérive est impressionnante : alors que l’Allemagne a réduit de 2 millions le nombre de ses fonctionnaires nous l’avons augmenté de 1 million et nos petites entreprises payent annuellement 140 milliards d’euros de charges en plus que leurs concurrentes Allemandes, voici deux exemples concrets dans deux domaines opposés qui illustrent parfaitement mes propos, franchement il y a quelque chose qui ne tourne pas rond ne pensez-vous pas ??????

 

Malheureusement les électeurs sont souvent crédules voire naïfs et reconduisent toujours les mêmes que ce soit à Droite comme à Gauche.

 

Le désir de vouloir à tout prix gagner les élections est d’ailleurs un facteur aggravant de mauvaise gestion et déforme la vision globale, il pousse l’homme politique à ne pas agir pour améliorer réellement mais pour le faire croire et dire aux citoyens ce qu’ils veulent entendre, TAPIE a raison un septennat non renouvelable serait l’idéal pour éviter ce problème.

 

Depuis quarante ans je sillonne l’Europe baignant dans la microéconomie le nez dans le cambouis tout en me passionnant pour la MACROECONOMIE.

 

Diplômé ESSEC en 1973 Expert comptable et licencié en droit des affaires, j’ai crée des dizaines d’entreprises en ai conseillé des centaines que ce soit dans le textile, les loisirs, l’agroalimentaire et tout récemment dans la restauration. J’ai acquis sur le terrain une expérience exceptionnelle qui me permet d’avoir une vision globale de la microéconomie tout en l’intégrant harmonieusement dans la MACROECONOMIE, c’est pourquoi je suis l’homme de la situation, je vous servirai de passerelle entre la fourmilière économique et votre pensée, aucun Président n’a eu ce privilège la synthèse de ce qui échappe à l’élite et ceci en temps réel vous en doutez ? moi pas.

 

           Depuis 2007 J’ai annoncé la crise, ses origines et ses conséquences.

A cette époque comme STIGLITZ, RAJAN et ROUBINI contre l’avis de la plupart des économistes j’ai prédit dès 2008 dans mon Blog « L’Economiste masqué » qu’une longue et dure crise économique  plongerait l’Europe dans une terrible récession engendrant chômage, faillites et troubles sociaux.

Alors pourquoi me tromperais je maintenant quant à notre avenir après avoir décrit avec autant de précisions ce qui nous vivons.

 

Depuis 1980 la croissance en Europe et aux USA a été financée en majeure partie par le crédit facile et non par une réelle création de richesse ce qui a occasionné une surconsommation et surtout une surcapacité de production, que nous payons au prix fort actuellement.

 

La folle dérive des marchés financiers et pour finir  la crise des supprimes ont sonné le glas d’une période euphorique ou le crédit facile privé et public ont poussé particuliers, Etats et collectivités à s’endetter jusqu’au coup bien au delà du raisonnable, ce qui a rajouté à ces deux crises une troisième celle des dettes souveraines.

 

Pendant cette longue période de croissance ou superflu  futilité et cupidité devinrent la norme quotidienne pour les Pays riches, certains pays en ont profité pour se développer  extraordinairement, voilà au moins un point positif. La Chine, l’Inde et le Brésil boostés par cette surconsommation inespérée ont développé une exportation à bon marché et sont devenus les premiers fournisseurs de la Planète.

 

En Europe, l’Allemagne a réalisé courageusement des reformes structurelles en adaptant la législation du travail, en baissant le coût du travail en partenariat avec les syndicats, en investissant dans des secteurs clefs faiblement concurrencés par les grands pays émergents elle a consolidé et amélioré considérablement son excèdent commercial.

 

Pendant ce temps l’Europe du sud telle une cigale a installé sa croissance uniquement sur la consommation à crédit des ménages, Etats et régions laissant déficits public et privé s’accumuler dangereusement jusqu’a ce que la dette des états devienne insoutenable et soit sanctionnée par les marchés.

 

  Mais comment en est-on arrivé là et que s’est-il passé en France pendant tout ce temps depuis environ trente ans?

 

Mitterrand et Chirac à leur début ont timidement tenté de reformer mais très vite ils ont adopté la politique de l’autruche, peu de vagues, pas de risques qui puissent compromettre leur avenir, privilégiant l’apparence, soufflant dans le sens du vent, toujours soucieux de conserver leurs électeurs et de préparer la prochaine élection, ils ont été les véritables fossoyeurs de l’économie, ils ont laissé faire et n’ont pas eu ce courage indispensable pour reformer dans la douleur.

 

Sarkozy a donc hérité d’une situation particulièrement délicate qui a été aussitôt aggravée par la crise financière Mondiale en 2008 suivie par la crise des dettes souveraines ce qui rendait beaucoup plus difficile les réformes structurelles pourtant indispensables.

 

Le problème de Sarkozy ne fut pas tant sa gestion mais ses maladresses, vouloir tout centraliser  sans déléguer un minimum et  avoir trop souvent un comportement inapproprié, ce qui le rendit très vite impopulaire, dans cette situation il devient difficile de reformer.

 

Sarkozy en finançant une petite croissance par un déficit exorbitant pour éviter l’effondrement du pouvoir d’achat, en soutenant la croissance à bout de bras par la dépense publique n’a fait que reculer l’échéance.

Mais le facteur qui a le plus contribué à retarder la récession et à la contenir reste celui des amortisseurs sociaux systèmes spécifiques à la France.

 

Pendant ces 20 dernières années notre tissu industriel s’est progressivement déchiqueté, désagrégé, sans qu’aucun gouvernement ne prenne la moindre  mesure pour enrayer ce désastre. Aucune stratégie pour contrer les pays émergents qui en pratiquant un dumping social allaient nous condamner à long terme, il aurait fallu comme les Allemands favoriser des secteurs privilégiés comme le Haut de gamme luxe et les nouvelles technologies, le numérique, les nouvelles énergies renouvelables, privilégier la qualité plutôt que de subventionner et défendre à tout prix des secteurs beaucoup concurrencés par les nouveaux pays émergents. Il fallait surtout privilégier les secteurs ou nous possédions les armes pour combattre.

 

Que va-t-il se passer en France dans un avenir immédiat ?

 

Il suffit de regarder ce qui s’est passé en Irlande au Portugal, en Espagne, en Italie, etc. La surcapacité de production et une surconsommation financée par le crédit facile ont crée une bulle de croissance anticipée, durant ces vingt dernières années nous déjà consommé notre croissance future voilà pourquoi et ceci est inéluctable, la croissance sera inexistante en 2013 et restera molle jusqu’à ce qu’une reprise technique s’opère mécaniquement, consolidée par une reprise mondiale tirée progressivement par les nouvelles puissances émergentes qui peu à peu  vont élever leur pouvoir d’achat et nous en faire profiter.

 

Quand aura lieu cette reprise et quand la croissance reviendra ?

Bien malin celui qui le sait en tout cas pas avant quelques années il nous faut d’abord purger nos erreurs.

 

Durant ces deux dernières années de petite croissance les PME et PMI en France ont retardé les licenciements et probablement dès le quatrième trimestre ils vont dégraisser. En effet la surcapacité de production de ces dernières années ayant entrainé une surconsommation généralisée et un sureffectif tous azimuts, la chute de la croissance et le retour à une consommation plus normale voire en baisse vont entrainer inéluctablement des dégraissages importants dans tous les secteurs et ceci a déjà commencé.

 

Le chômage va rapidement grimper à 12% pour atteindre 15% fin 2013 et la croissance avoisinera ZERO peut être  même  négative.

 

Vouloir faire adopter un pacte de croissance reste un vœu pieux car la croissance ne se décrète pas elle se construit patiemment sur la confiance et surtout elle dépend de plusieurs facteurs qui ne sont pas actifs pour l’instant, malheureusement.

 

La croissance est une fonction mathématique complexe une combinaison qui lie l’espérance de la consommation des ménages  et  l’espérance de l’investissement prévue par les entrepreneurs : ces deux facteurs dépendent eux même de la confiance, or la confiance est indispensable pour relancer la consommation et l’investissement qui sont les vecteurs fondamentaux de la croissance.

 

 

COMMENT REDONNER CONFIANCE ?

 

Tout simplement en expliquant dans un premier temps sans dramatiser la complexité de la crise financière qui s’est transformée en crise économique majeure mondiale en Europe et aux USA et qui commence à affecter les Pays Emergents.

 

Dans un deuxième temps il faudra aussi dire comment  s’en sortir par des mesures courts terme, moyen terme et long terme, chacun doit pouvoir visualiser sa position et son potentiel d’évolution à travers la crise.

Une pédagogie illustrée par des exemples répétés sans cesse est la seule solution  capable de rassurer l’ensemble des citoyens, c’est en informant continuellement sans dramatiser que la confiance reviendra lentement.

 

Lorsque vous consulter un médecin vous êtes rassuré dés que celui-ci vous a expliqué l’origine de votre souci, dès lors vous vous sentez mieux, le traitement vous met sur la voie de la guérison même si c’est un placebo, ce qui signifie que le processus de la pensée : « je comprends ce qui se passe » améliore mon état psychologique qui progresse avec le traitement le tout étant lié.

 

Beaucoup trop de Politiciens en cachant volontairement la vérité économique crée un climat de méfiance et de suspicion très néfastes qui empêchent  le citoyen de  reprendre confiance.

Lorsque vous voyagez en avion, en période de fortes turbulences le Pilote rassure ses passagers ils ne voient rien mais ils ont confiance.

 

Le PIB d’un pays peut se comparer au CA d’une multinationale, dans les deux cas il est nécessaire pendant une croissance longue d’observer des paliers pour consolider la croissance or depuis trente ans la progression fut continue sans palier. Les différentes crises depuis trente ans qui ont secoué l’Europe et les USA auraient pur servir de palier pout reformer ce qui aurait permis de consolider la croissance future.

Au contraire on a préféré soigner les effets et non les véritables causes : conséquence la maladie s’est aggravée et propagée partout.

 

Une multinationale qui n’augmente son CA peut très bien continuer à vivre sans problème si elle pratique un système inventif de gestion rigoureuse : comment ? Tout simplement en améliorant sa marge et en baissant constamment les charges non productives en améliorant la rentabilité de sa stratégie de développement. Conclusion on peut très bien embaucher sans qu’il y ait de la croissance globale mais en améliorant la marge ce qui constitue une croissance interne mieux partagée ceci augmente le pouvoir d’achat redonne confiance ce qui influe sur la croissance generale.

 

Nous devons briser certains tabous sociaux qui bloquent et empêchent la microéconomique de se développer dans de bonnes conditions, la législation sur le travail n’est plus adaptée aux petites entreprises elle donne l’illusion de protéger  le salarié mais c’est en réalité le contraire elle aboutit à pénaliser à la fois les entrepreneurs et les travailleurs, elle bloque le système par des contraintes inutiles qui freinent la mobilité de l’emploi

 

Dans la plupart des PME / PMI cad 97 % des Entreprises en France on négocie les salaires en net, plus personne à part dans l’administration et les grandes entreprises ne négocie le salaire en brut ce qui signifie que charges salariales et patronales doivent être cumulées pour simplifier le système. Ceci permettra faire comprendre que c’est le patron qui paie la totalité des charges et non uniquement les charges patronales ce qui représente au total une moyenne de 83% du net.

 

La flexibilité du temps de travail en fonction de la demande, de la conjoncture est indispensable au monde de l’entreprise surtout en période de crise et pour les PME/PMI qui n’ont pas les reins assez solides comme les tenors du CAC 40 pour planter à tout va des plans sociaux il faut y aboutir au plutôt.

 

Autre mesure indispensable et immédiate le Transfert de 20% des charges sociales sur la CSG et non quelques ridicules pourcent. La compétitivité est en berne depuis des années on attend quoi ? Plus de faillites pour avoir besoin d’augmenter ENCORE les COTISATIONS et donc les charges ce qui entrainera ENCORE plus de faillites !!!

 

Le Smig en période de faible croissance et surtout en période de crise est un non sens économique majeur qui freine l’embauche et participe activement à la montée du chômage. Par contre en période de croissance normale cela pourrait se concevoir à la rigueur sachant que déjà le marché du travail en étant porteur devient un régulateur naturel.

 

Le Smig une illusion de sécurité mais surtout un non sens économique qui nivèle vers le bas les valeurs en démotivant les uns plus productifs par rapport à d’autres qui malheureusement n’ont pas les mêmes capacités.

 

Comment expliquer à un employé qui fait en 20h ce que fait un autre en 40H que tous les deux sont au Smig !!!! Cela coule de source, cette évidence démotive le premier et le pousse à se relâcher, trompe le second qui pense toucher un salaire équitable, d’ailleurs pourquoi ferait-il des efforts puisque 39H lui rapportent le Smig ?.

 

L’instauration d’un Smig adapté et variable est indispensable pour combattre le chômage : ce n’est pas le dévaluer que de payer un individu en fonction de ses capacités, ce n’est pas injuste de payer 400€ un quidam qui travaille à son rythme : cela remettra un citoyen dans la dynamique active, cela évitera aux ASSEDIC de payer plein pot un chômeur qui ne pourra plus se réinsérer,  d’ailleurs il serait judicieux et indispensable de compléter cette modeste somme de 400€ par un complément d’aide ce qui permettra aux ASSEDIC d’économiser des milliards.

 

Cela permettra aussi à tous ceux qui rejoignent la France de trouver du travail, cette contrainte imbécile et inappropriée fausse le marché du travail car aucun entrepreneur ne peut se permettre d’embaucher un non qualifié parlant à peine le Français à un Smig qui lui revient au total à 2000€ environ charges comprises. Cela évitera aussi le travail au noir qui est le résultat évident de ce non sens économique car dans la clandestinité celui qui doit survivre accepte n’importe quel job dans n’importe quelles conditions auprès d’un prédateur qui lui profite d’une situation crée par une contrainte inadaptée dans une législation devenue obsolète.

 

Arrêtons aussi d’aider les canards boiteux, de les subventionner à perte on ne fera jamais d’un âne un cheval de course, en aidant les entreprises mal gérées et destinées à disparaitre on pénalise les autres. Il est donc préférable de consacrer cet argent pour alléger les charges de ceux qui ont prouvé qu’ils géraient sainement, d’ailleurs ceux-ci en se développant embaucheront rapidement les salariés mis au chômage par la disparition des entreprises moribondes cela serait que juste récompense utile qui permettrait de réduire efficacement le chômage.

 

Le taux de TVA doit dépendre du coefficient  CA/masse salariale  ou CA/nb employés. Un courtier qui fait 1M€ de CA avec un employé  paye la même TVA qu’une entreprise qui emploie dix salariés c’est injuste et  improductif, cette taxe freine l’embauche et affecte la marge de l’entrepreneur qui utilise d’avantage de main d’œuvre. Si on ne tient pas compte de ce principe la tva devient une charge supplémentaire freinant l’embauche dans les entreprises dont le CA est proportionnel à la masse salariale.

 

Créer cent cinquante mille emplois jeunes peut temporairement soulager le chômage redonner confiance aux jeunes les mettre en phase avec le travail mais les études basées sur les expériences passées ont montré que l’impact d’une telle mesure s’estompe rapidement et devient inefficace à moyen terme mais pour conclure c’est tout mieux que rester les bras croisés.

 

Nous devons prendre des mesures à court terme rapidement pour éviter la flambée du chômage et privilégier les secteurs qui ne sont pas concurrencés par les pays émergents, le net le luxe le tourisme les jeux e loisirs etc.

 

Je me fais fort de créer CENT  MILLE emplois en quelques mois mais je préfère en garder la primeur au cours d’un RDV ou je pourrai grâce à une argumentation irréfutable fondée sur 40 ans de contact direct avec la micro économie.

 

Bientôt il sera trop tard, une heure me suffirait pour vous convaincre, que représente une heure si cet entretien débouche sur une collaboration exceptionnelle et productive !!!!  GOUVERNER  C’EST ANTCIPER C’EST EXACTEMENT CE QUE NOUS ALLONS FAIRE : SI VOUS LE DECIDEZ ??????

 

 

 

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