Cette crise aura eu au moins le mérite d’engendrer un président Américain capable de lui faire face.
IL apparait curieux même divin que le destin ait donné un coup de pouce déterminant en faisant éclater la crise au moment opportun, c’est d’ailleurs à partir de cet instant qu’OBAMA a commencé à prendre une avance significative par rapport à Mac Caine.
Curieusement le DESTIN est venu en aide au seul candidat capable de représenter le changement dont la planète terre ait le plus besoin.
Personne avant cette multi crise aurait pu imaginer ce raz de marée car pendant longtemps Mac Caine est resté en tête peut être les démocrates pleureraient ils aujourd’hui.
Le hasard a bien fait les choses, mais l’univers, la vie, la mort ne sont ils pas une succession d’événements ou le hasard tient une part importante.
OBAMA peut’ il changer beaucoup de choses, influer suffisamment sur le cours des évènements futurs espérons le.
Pourtant les solutions sont simples, mais il faut une volonté politique sans failles pour les appliquer.
Il suffirait de taxer les transactions financières de 0 ,1% de la planète pour dégager 80 milliards par an qui pourraient être consacrées au développement des pays émergents, les aider à développer leur agriculture, leur système de santé, tout simplement leur donner la capacité à s’en sortir tout seul.
Instaurer des règles internationales pour éliminer cette pourriture de finance virtuelle, supprimer le système de pari à crédit, et les produits dérivés qui créent des masses considérables d’argent virtuel ne correspondant à aucune création de richesses et qui l’ors qu’elles sont investies dans l’économie réelle viennent déséquilibrer l’ensemble du système.
La finance et les banques en particulier doivent être mises au service de l’économie, du commerce de l’industrie, elles ne sont pas là pour se gaver sur le dos de leur clients en prenant des risques inconsidérés qui aboutissent aux catastrophes que nous connaissons.
Mais désormais il faut survivre ca la crise déferler sur l’économie, après l’euphorie passagère de l’élection, les investisseurs vont connaitre la dure réalité d’une bourse en chute libre et bien malin qui connait l’issue.
